Gra"L'opportunité de changer un sport et de faire qu'à nouveau les gens en soient fiers est une chose à laquelle je ne pouvais pas résister", a déclaré Mme Coates dans une interview publiée dimanche à l'édition dominicale du quotidien britannique Telegraph.
"J'ai écrit une liste des choses que je voulais accomplir dans le sport avant de commencer et la première chose était que la perception change", a-t-elle poursuivi. "Je ne veux plus de médailles à tout prix", a-t-elle insisté.
"J'espère que Dina (Asher-Smith, spécialiste du 100 m et du 200 m, NDLR) gagnera, je pense qu'elle le fera et qu'elle veut le faire", a-t-elle relevé. "Mais c'est son histoire, sa trajectoire dans l'athlétisme et ce que l'athlétisme peut apporter à tout le monde. C'est ce que ça devrait être."
"Le conseil d'administration m'a donné la possibilité de faire des changements pour m'assurer que la fédération revienne là où elle devrait être", a-t-elle indiqué.
"Il y aura des changements majeurs, pas seulement en termes de personnes. Aussi de politique, de procédures, de contacts avec les autres organisations", a-t-elle précisé.
UK Athletics a été au centre d'une controverse l'année passée autour de l'ex-entraîneur de Mo Farah, le controversé Alberto Salazar, suspendu quatre ans pour infraction aux règles antidopage. Cela avait entraîné le départ du directeur de la performance d'UK Athletics, Neil Black, qui avait précédemment qualifié Salazar de "génie".