Une semaine après la réouverture d'une enquête de police aux États-Unis visant la superstar du football mondial, le feuilleton s'est poursuivi ces dernières heures: d'une part avec des informations de presse au Portugal éclaboussant le Real, qui a promis des poursuites pour diffamation, et de l’autre, le groupe Unilever, derrière le shampoing Clear, qui se préoccupe de la suite de cette affaire.
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Après EA Sports l’éditeur du jeu FIFA 19 dont il est l’ambassadeur, puis Nike, l'équipementier avec lequel il est lié à vie, la multinationale Unilever basée à Rotterdam (Pays-Bas) a publiquement formulé des réserves sur la poursuite de sa collaboration avec le joueur de 33 ans. “Les allégations sont profondément troublantes et nous suivons de près la situation”. Ce qui ressemble fort à un désaveu.
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Ronaldo, transféré cet été de Madrid à la Juventus Turin, est accusé de viol par Kathryn Mayorga, une Américaine de 34 ans, qui affirme dans une plainte au civil avoir été victime d’une agression sexuelle perpétrée par le footballeur le 13 juin 2009.
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