Fissures, manque d’étanchéité, chutes de morceaux du plafond dans les vestiaires… El Abdi d’El Jadida est-il devenu un stade menaçant ruine ?
Selon Salaheddine El Mokhtarid, membre de la direction du DHJ, il ne faut surtout pas croire «à une chute de plâtre de mauvaise qualité. Il faut plutôt reconnaître que le stade d’El Abdi date de plusieurs décennies et que ses nombreuses fissures causent des infiltrations d’eau dont les premières conséquences commencent à se faire sentir.»
Une expertise s’impose d’urgence, car c’est la vie de dizaines de joueurs et de milliers de supporters qui est en jeu.
D’autant plus que cette auguste infrastructure accueille aussi bien des matchs internationaux que les rencontres à domicile du DHJ et de nombreux autres clubs transhumants comme le Raja, le WAC…