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Raja: la gestion de Boudrika devant la BNPJ

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Kiosque360. Le ministère de la Justice s’intéresse à nouveau au dossier des comptes du Raja de Casablanca à l’époque du président Boudrika. Ce dernier aurait été convoqué par la BNPJ.
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Pas un jour ne passe sans qu’une info sur le Raja de Casablanca ne fuite sur les journaux et sur les différents supports médiatiques. Cette fois-ci, c’est au tour d’Al Massae, daté du 7 août, d’expliquer que le ministère de la Justice s’intéresse aux comptes du Raja à l’époque du président Boudrika. Le département de Mohamed Aujar aurait reçu plusieurs plaintes concernant ce sujet et a décidé de rouvrir le dossier

Pour rappel, la police avait rédigé son rapport, après avoir écouté la version de l’ancien président du Raja, et l’avait adressée au procureur du roi. Seulement, le dossier est resté dans les casiers du tribunal depuis le temps. Le retard cumulé dans l’affaire a poussé plusieurs plaignants à envoyer une lettre à Hassan Matar, procureur général de Casablanca.

L’avocat du Raja de Casablanca parlait de «détournement de fonds publics» et «malhonnêteté» sur la base d’un audit financier réalisé par un grand cabinet. Le cabinet en question a estimé que l’ancien président du club avait subtilisé les fonds accordés par le Conseil de la ville et par la Fédération royale marocaine de football.

En tout cas, selon Al Massae, le dossier du Raja a été renvoyé à la BNPJ pour complément d’enquête par rapport à la prime de la Coupe du monde des clubs. D’ailleurs, suite à cette décision Mohamed Boudrika et Amir Youssef ont été convoqués pour répondre aux questions de la police.

Le quotidien rappelle qu’il avait déjà fourni des éléments concernant les agissements de Boudrika après la fin de la Coupe du monde des clubs. Sur la prime de plus de 35 millions de dirhams, l’ancien président avait transféré le montant de 3 millions de dirhams à M’hamed Fakhir, alors que le club ne devait rien à ce dernier.

Plusieurs adhérents avaient demandé au ministère de la Justice de s’intéresser au cas du Raja et d’ordonner un audit, ce qui n’a jamais été autorisé.

Par Ismail El Fassi
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