Toutes les portes sont bonnes à frapper. Pourvu qu’on y trouve derrière une subvention, un prêt, une avance, voire une simple aide qui permettraient de renflouer, un tant soit peu, les caisses (vides) du Raja de Casablanca.
C’est à cet exercice que se livre actuellement Mohamed Aouzal, qui use de sa connaissance du microcosme économico-politique de la Métropole et de son carnet de bonnes adresses pour tenter d’extirper son club de la mauvaise passe.
Présentement, Aouzal fait le forcing auprès du Conseil de la ville de Casablanca afin que ce dernier libère les 5 millions de DH de subvention annuelle accordée au club bidaoui.
L’ancien président du Raja, en contact permanent avec le successeur de Mohamed Boudrika, se montre très optimiste. Il a même promis à Said Hasbane que la crise financière sera bientôt jugulée.