Le conflit entre Said Naciri et René Girard s'éternise. Malgré les dires du président du Wydad, l'entraîneur français n'a pas démissionné et ne compte pas le faire. Résultat, le WAC est dans l'impasse et ne peut engager Faouzi Benzarti. Ce jeudi c'est d'ailleurs Moussa Ndao qui officie sur le banc des Rouges à Oued Zem en match en retard de Botola.
Même si Naciri essaye par tous les moyens de se séparer de Girard, l'ancien nantais est un coriace déterminé à faire valoir ses droits. Si par la force des choses Girard est rentré en France il est décidé à obtenir gain de cause dans cette affaire.
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Alors que son staff et lui disposaient d'une enveloppe de 400 000 dirhams mensuels pour diriger le WAC, René Girard refuse de s'asseoir sur ses indemnités de départ (forcé).
La jurisprudence fait qu'un entraîneur étranger limogé, qui décide d'entamer une procédure juridique auprès de la FIFA, peut prétendre jusqu'à 2 ans de contrat. Ce fut le cas lorsque le Raja de Casablanca s'est séparé du Néerlandais Ruud Krol.
En ce qui concerne l'actuel entraîneur du WAC, qui se réserve le droit de saisir l'instance dirigeante du football mondial, ou le tribunal arbitral du sport (TAS), le montant à payer avoisine le milliard de centimes.
En effet, si Naciri et Girard vont au bout du conflit, le WAC pourrait être contraint à payer au moins 9 600 000 dirhams au Français à titre d'indemnités de licenciement pour lui et ses adjoints. Une somme qui manifestement a fait réfléchir le président du Wydad qui multiplie les déclarations contraires ces derniers jours dans les médias marocains. Le feuilleton continue...
1 commentaires /
déjà pour son premier contrat il est parti voilà qu'il revient pour semer une autre merde
mai vremen ce president Naciri il n'a rien compri le coach il na meme pas caocher alor qu'il
le vire ce coach Tunisien port malheur sauve qui peu vive le Wydad