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CAN 2017: et maintenant, aux Lions de l’Atlas de rugir

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Kiosque360. Après un vol de 12 heures, la sélection marocaine est arrivée à Bitam au nord du Gabon, ville située à proximité d’Oyem où vont se jouer les rencontres du groupe C. Les choses sérieuses commencent.
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C’est à bord d’un avion affrété spécialement que l’équipe nationale a atterri à Libreville au Gabon en provenance d’Abu Dhabi, indique l’envoyé spécial du quotidien Al Ahdath du 13 janvier. Par la suite, joueurs et staff technique ont fait le déplacement à bord de deux petits avions pour gagner la ville de Bitam, au nord du Gabon, après une heure et demie de vol.

Le coach national, Hervé Renard, a prévu trois séances d’entrainement dans le stade d’Oyem avant la rencontre du groupe C qui va opposer, le lundi 16 janvier, le Maroc à la RD Congo. Des séances qui auront pour objectif de peaufiner les derniers détails tactiques avant les rencontres avec les équipes du premier tour (RD Congo, le Togo et la Côte d’Ivoire).

Pour rappel, l’animation offensive de la sélection nationale arrive très diminuée au Gabon en raison des absences de Nordine Amrabat, Oussama Tannane, Youness Belhanda et Sofiane Boufal. Ce dernier sera remplacé par Omar El Kaddouri qui évolue au SSC Naples. Pour valider ce changement qui survient après le dépôt de la liste finale des 23 joueurs sélectionnés, le dossier médical de Boufal doit être transmis à la CAF, comme le stipule le règlement de l’instance africaine.

Concernant les supporters marocains qui vont faire le déplacement au Gabon pour encourager la sélection nationale, l’ambassade du Maroc à Libreville et la fédération gabonaise de football ont décidé de mettre des bus à leur disposition pour assurer leur déplacement de la capitale vers la ville d’Oyem où auront lieu les matchs des Lions de l’Atlas. 

L’ambassade du Maroc s’est également concertée avec le gouvernement gabonais pour assurer la sécurité des déplacements de la sélection nationale par des forces de sécurité officielles au lieu de recourir aux services des agents de sécurité privés.

Par Fayçal Ismaili
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