C’est l’accusation de dopage de la taekwondiste Hakima Meslahi qui a ouvert la voie à la gendarmerie royale pour diligenter une enquête sur ce fléau qui est en train de décimer le sport national.
Et pour cause, Hakim Meslahi travaille dans les services de la gendarmerie et fut, par conséquent, la première à être interrogée pendant plusieurs heures. La taekwondiste n’a pas flanché et a insisté sur son innocence, mais elle fut privée de son portable pour complément d’enquête.
Selon une source proche des enquêteurs, il s’avère que les trois sportifs déclarés positifs, auraient pris le même produit prohibé. Ce qui dénote l’existence d’un système organisé ou du moins d’un seul fournisseur, individuel ou organisé en bande.