À partir de ce vendredi 29 novembre, les joueurs de Botola D1 et D2 peuvent être soumis à des contrôles urinaires et sanguins lors des matches qu’ils disputent mais aussi hors compétitions, à tout moment et en tous lieux. Il s'agit d'une décision prise par la Ligue nationale du football professionnel (LNFP) en collaboration avec le Ministère de la Culture, de la Jeunesse et des Sports.
Dans un communiqué publié par la LNFP, la ligue présidée par Saïd Naciri a déclaré qu'une commission sera chargée de cette procédure très stricte et elle sera évidemment présente dans tous les matchs du championnat, afin d'empêcher toute tricherie.
En principe, ce sont deux joueurs de chaque équipe qui seront testés, mais ce n’est pas une règle absolue. En cas de contrôle positif, lesfautifs se verront infliger de lourdes sanctions allant jusqu'à la suspension à vie selon la gravité des faits.
Pour rappel, plus que la sanction, le dopage présente des risques pour la santé des sportifs. Augmentation des risques cardio-vasculaires, réduction de l'espérance de vie entre autres.
