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Garrido exige un gros salaire pour rester au Raja

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Kiosque360. Couronné d’un nouveau sacre en Coupe de la CAF, l’entraîneur du Raja de Casablanca, l’Espagnol Juan Carlos Garrido, vient de poser ses conditions aux dirigeants du club pour rester. Parmi elles: une revalorisation salariale ainsi que la mise à l’écart de son adjoint, Youssef Safri.
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Tout juste auréolé d’un nouveau titre en Coupe de la Confédération, après le sacre du Raja de Casablanca, dimanche dernier, en Coupe de la CAF contre l’AS Vita club à Kinshasa, l’entraîneur espagnol des Verts Juan Carlos Garrido a réclamé de nouvelles conditions aux dirigeants du Raja pour rempiler, rapporte le journal Al Akhbar du week-end des 8 et 9 décembre.

Rappelons que le contrat de l’Espagnol avec les verts, signé à l'époque de Said Hasbane, prend fin en juin 2019. Garrido a été même à un doigt d’être renvoyé par le Comité provisoire dirigé par Mohamed Aouzal durant l’été dernier. A cause de son salaire jugé trop élévé.

Devenu aujourd’hui un homme fort des verts, Juan Carlos Garrido a posé deux conditions pour renouveler son contrat. La première, c'est la mise à l’écart de son adjoint, l'ex-Lion de l'Atlas Youssef Safri. Ce dernier lui aurait été imposé l’été dernier par la direction provisoire du club. Il semble que l’entente entre les deux hommes ne soit plus au rendez-vous.

Un différend les a d’ailleurs opposés à Kinshasa lorsque Garrido a souhaité faire entrer Mohamed Oulhaj pour jouer les dernières minutes du match. Youssef Safri était contre cette décision, explique le journal.

Deuxième condition posée par Garrido: une revalorisation salariale. Mais nos confrères arabophones ne donnent pas plus de précisions sur les détails du montant que réclame l’entraîneur espagnol, Après son récent sacre en Coupe de la CAF, l’ex-coach de Villareal a empoché une prime conséquente d’un million de dirhams. L'appétit vient aussi en gagnant.

Par Fayçal Ismaili
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1 commentaires /

  • Mohammed BEKKOURI
    Le 08 Dec. 2018 à 18h55
    Il n'y a aucun entraîneur parmi les 40 millions de marocains. C'est drôle, n'est-ce pas?
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