L’utilisation de la VAR dans le foot continue de diviser. Dernier exemple en date: la Coupe du monde féminine qui se tient actuellement en France. «Depuis le début du Mondial, l’arbitrage vidéo ne cesse d’entraîner critiques et incompréhensions. Sans régler certains problèmes», affirme le site sportif du journal Le Figaro dans un article publié ce lundi 24 juin. Pourtant, il y a du bon et du moins bon dans l’utilisation de cette technologie.
Au tout début de la compétition, l’arbitrage vidéo a permis d’éviter certaines injustices, comme lorsqu’un but a été justement refusé à la France lors de son match d’ouverture contre la Corée du Sud (4-0). Une situation dans laquelle l’attaquante Griedge Mbock était en situation de hors-jeu. C’est d’ailleurs la France qui a le plus bénéficié de cette technologie depuis le début de la compétition, à l’instar de deux pénaltys sifflés pour la France contre le Nigéria et la Norvège.
Mais ce qui agace le plus, ce n’est pas tant la réparation des injustices que l’impact qu’a le VAR sur le rythme des rencontres. «Parfois pendant quatre à cinq minutes, entraînant des temps additionnels longs comme des prolongations (huit minutes en fin de match entre la France et le Nigéria !). Sans parler de l’incompréhension que cela génère auprès du public, mais aussi parfois des joueuses, comme l’ont démontré des Camerounaises prêtes à quitter le terrain en 8es de finale face à l’Angleterre», arguent nos confrères.