Le dirigeant Bahreini a fait savoir, dans une déclaration livrée à Bein Sports, que les chances du royaume «sont égales à celles du dossier commun entre les Etats-Unis, le Mexique et le Canada.»
Pour Bin Khalifa, tout dépend de la manière dont le Maroc présente son dossier. Le patron du football asiatique n’a pas mâché ses mots en précisant que «les Arabes doivent se mettre d’accord sur un seul candidat». C'est dit.