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Mondial 2026: et si les bourdes de Trump favorisaient le Maroc

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Donald Trump multiplie les décisions impopulaires et fait jaser le monde. À l'approche du vote de la FIFA pour l'organisation du Mondial 2026, les bévues du président américain peuvent bien profiter au Maroc. D’autant plus que les dernières décisions prises par le gouvernement américain fâchent outre-mer comme l’indique le Chicago Tribune.
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Et si tout ce qui se passait dans le monde profitait finalement au Maroc? On parle bien de l'obtention de l'organisation du Mondial 2026, et on ne peut dire que le dossier marocain est favori par rapport au trio de choc, Etats-Unis, Mexique et Canada. C'était, presque, perdu sur le papier... Mais c'est sans compter sur les bourdes de Donald Trump, qui est probablement le président le plus controversé de l'histoire de son pays.

En tous les cas, le quotidien numéro 1 de Chicago et sa région, le "Chicago tribune", estime que de l'autre côté de l’Atlantique, le Maroc peut jouer dans les coulisses et profiter de sa position pour faire pencher la balance en sa faveur au moment de passer aux urnes.

Et l’auteur de l’article d’expliquer qu’au delà des positions politiques du royaume, sa situation géographique peut tout chambouler. Situé à 1h de l'Europe, et à 5h de l'Asie, le Maroc est bien placé pour attirer un maximum de supporters. Si on ajoute à ces facteurs, le décalage horaire qui fait peur aux détenteurs des droits TV et la popularité du football en Afrique et au Maroc, il n y a pas photo, ajoute le quotidien.

Du coup, enchaine le journal, les décisions politiques controversées prises par les USA peuvent porter préjudice au pays, au moment où l’on fera le décompte des votes pour le Mondial 2026. D’autant plus, conclut le quotidien américain,  pour cette coupe du monde, le vote ne sera pas limité au comité exécutif de la FIFA, mais bien à l'ensemble des fédérations représentées au sein de l'instance internationale du football. En tous les cas, on recense 211 nations membres qui ont le droit au vote, dont des pays pas "très amis" avec les USA... et dont le nombre a décuplé depuis l’arrivée de président Trump.

Par Nassim Elkerf
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