Jean-Paul Lecoq a fait savoir dans une lettre à la FIFA que l’organisation du Mondial 2026 au Maroc constitue une violation du droit international. C'est du moins ce que vient d'annoncer une dépêche de l'APS (agence de presse algérienne).
“Le député de la Seine-Maritime a voulu alerter le président de la Fédération internationale de football "sur le comportement d’un des candidats à la sélection, le Maroc" pour l’organisation de la coupe du Monde de football de 2026 et dont la désignation se fera mercredi. "Depuis la fin des années 1970, le Maroc occupe illégalement le Sahara occidental", peut-on lire sur la même dépêche.
"Vous comprendrez donc ma vive préoccupation concernant l’organisation par la Fédération internationale de football d’une compétition internationale sur le territoire d’un Etat violant de manière manifeste le droit international public, les droits de l’homme et le droit humanitaire", a regretté Jean-Paul Lecoq dans sa correspondance à Gianni Ifantino.
Avec l’appui financier d’Alger, il a procédé à la création d’un réseau interparlementaire qui en fait un levier de pression et de lobbying pour défendre les thèses séparatistes parrainées par le régime militaire qui sévit en Algérie.
Pour rappel, ledit député a été déjà expulsé du Maroc en 2010 pour avoir voulu mener une campagne contre la cause nationale dans les provinces du Sud. Un autre coup d’épée dans l’eau de la part du régime algérien.
Les séparatistes du Polisario avaient déclaré ne pas être contre la candidature du royaume pour le Mondial 2026. Ce qui démontre encore une fois que ce sont les militaires d’Alger qui manipulent les mercenaires, les élus et les associations européennes contre le Maroc.
Pour Alger, tous les moyens sont bons pour mettre des bâtons dans les roues du voisin. Demain n'est pas si loin. Il faut s'attendre à voir Alger trahir le Maroc en s'alignant ouvertement sur la position de l'Afrique du Sud, du Zimbabwe et du Liberia, et soutenir la candidature américaine.
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je suis ne a oran