Mais que prévoient les partis politiques en matière de stratégies et de politiques sportives dans leurs programmes électoraux. Si le sport n’est pas vraiment la priorité de nos formations politiques, certaines d’entre elles ont tout de même consacré quelques lignes au développement du sport dans leurs programmes électoraux. Les promesses de cinq partis politiques ont été relayées par le quotidien Al Massae qui y consacre une page dans son cahier sportif du mardi 7 septembre.
Le parti de l’Istiqlal souhaite élargir la pratique du sport au sein de la société, en y impliquant davantage les femmes et les personnes à besoins spécifiques. Le parti de la balance souhaite également encourager l’équité sociale à travers le sport et améliorer les installations et infrastructures sportives.
L’Union socialiste des forces populaires voit quant à lui en le sport un moyen d’encourager la cohésion sociale, la tolérance et le vivre ensemble. Pour le parti de la rose, le sport sert également à combattre les phénomènes de l’extrémisme, de la violence et de l’addiction.
Le Parti socialiste unifié promet de mettre en place les infrastructures et installations sportives de base dont la jeunesse a fortement besoin. Le parti dirigé par Nabila Mounib assure vouloir également généraliser la construction de terrains de proximité pour permettre à un plus large public de pratiquer des activités sportives.
Le Parti de la justice et du développement souhaite également la construction d’un plus grand nombre d’installations sportives. Le PJD promet de développer le sport scolaire et de mieux former les cadres sportifs.
Le Parti du progrès et du socialisme veut quant à lui augmenter le nombre de licenciés au Maroc. Le parti du Livre espère ainsi développer le sport d’élite à travers l’amélioration des infrastructures de formation. Le PPS promet également de lutter contre le hooliganisme et la violence dans le sport.
