La rythme de la course entre les deux candidatures monte à l’approche du vote qui aura lieu le 13 juin prochain. Chacun des protagonistes tente d’arracher des voix dans le camp de son concurrent.
Si le Maroc essaye de convaincre les pays de l’Europe du Nord, des Caraïbes et d’Asie, les américains, eux, préfèrent, les menaces du président Trump aidant, pêcher dans les eaux africaines et s’aventurer dans les déserts du Golfe.
Récemment, les deux camps ont profité de la tenue du congrès de l’Association Internationale de la presse sportive (AIPS) à Bruxelles pour aller convaincre les médias de la solidité et de la pertinence de leurs dossiers respectifs.
Certes, il est fâcheux de voir un pays africain voter contre l’Afrique mais les autres fédérations du continent soutiennent toujours la candidature africaine. Celle du royaume du Maroc.
Concernant les pays arabes qui ont été sollicités par la fédération américaine de soccer, tout reste possible.
En somme rien n’est encore joué même si les menaces de Donald Trump peuvent faire leur effet comme l'Afrique du Sud vient de le démontrer.
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