Si la première mi-temps, malgré des occasions nettes de but, a été jugée tantôt fade, tantôt de bonne augure, la seconde mi-temps laissera la communauté perplexe jusqu’au coup de semonce de la dernière minute.
Un but assassin qui a de quoi susciter quelques déceptions mais qui n’entame pas pour autant l’optimisme des supporters, même s’il faudra faire face au Portugal et à l’Espagne, deux grands favoris de la compétition.
Mais, rappellent les plus âgés, le Maroc avait déjà battu le Portugal lors du mondial de 1986. Et l’histoire pourrait bien se répéter, surtout que le "sorcier blanc" Renard, que les Ivoiriens n’oublieront pas de sitôt, est un habitué des "miracles".