Vidéo. Les vérités de Zaki sur l'Algérie, l'IRT et le WAC

La courte expérience de Zaki en Algérie

"Lorsque je suis parti entraîner le Mouloudia club d’Oran, qui est connu pour avoir un grand public et qui joue parmi les 4 premiers du tableau, je me suis retrouvé dans un club avec une direction non structurée et qui rencontrait beaucoup de problèmes. Après avoir constaté la gestion interne et les sabotages de la direction, j’ai décidé de claquer la porte".

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Comment expliquer son bref passage à Tanger?

"Les dirigeants voulaient gagner le championnat très vite. Mais nous avons été victimes de plusieurs erreurs d'arbitrages. Après concertation avec la direction, nous ne comprenions pas si ses erreurs visaient Tanger ou ma personne. Par la suite, j’ai décidé de partir d’un commun accord avec le club".

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Pourquoi a-t-il quitté le Wydad?

"La cause de mon départ du Wydad n’est pas le derby perdu face au Raja mais plutôt les menaces reçues lorsque j’étais sur le banc des rouges".

Zaki et sa réputation d'entraîneur à poigne

"Le fait que les gens pensent que suit un entraîneur très strict n’est qu’une étiquette que je traîne depuis de longues années. Les gens qui me connaissent savent que je ne suis pas comme ça.  Je ne suis pas un dictateur mais je ne tolère absolument pas le manque de professionnalisme".

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