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Violences conjugales. El Amrani, Bergdich, Berrahma... ces footballeurs marocains accusés de maltraiter leurs épouses

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De nombreux footballeurs ont dû comparaître devant les tribunaux après des accusations de violences conjugales. Comme le joueur du Bayern Munich, Kingsley Coman et autres joueurs marocains qui ont connu une descente aux enfers après s'en être pris à leurs moitiés. Florilège.
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Est-ce la fin de l’espoir Kingsley Coman? Le joueur du Bayern Munich pourrait finir sa carrière de manière précoce s’il s’avère qu’il est effectivement coupable de violences conjugales. Le joueur avait été mis en garde à vue mardi 27 juin, accusé de coups et blessures envers sa compagne, Sephora. Lucas Hernandez, autre espoir et défenseur de l’Atlético s’en est également pris à sa compagne.

Le tourbillon infernal dans lequel ces joueurs se retrouvent plongés, d’autres l’ont connu et pas qu’à l’étranger, des Lions et l’Atlas et des Botolistes ont également été accusés de violences conjugales ces dernières années.

L’épouse de l’ancien défenseur du Raja et du WAC, Hicham El Amrani a créé la stupeur générale l’an dernier en affirmant que son mari lui assénait des coups violents et la contraignait à consommer de l’alcool en sa compagnie.

Ayoub El Kaadaoui, joueur du KAC s’en était violemment pris à sa femme en 2016, la rouant de coups. Cette dernière l’avait surpris dans les bras d’une autre. La victime qui répond au prénom d’Ikram et dont l’âge ne dépassait pas 19 ans à l’époque des faits, a été attaquée par le footballeur, sa mère et sa sœur.

International marocain, Zakarya Bergdich avait également connu un sort assez semblable. Le défenseur qui poursuivait sa carrière en Italie au Genoa, a été interpelé le jeudi 9 avril 2015 à Gênes pour violences conjugales. L’épouse du joueur avait été admise à l’hôpital.

Mehdi Berrahma, le défenseur de l’AS FAR a vécu un épisode plus sombre. Il a été accusé de kidnapping, de séquestration et de viol sur mineur. Sa petite amie de l’époque était âgée de 17 ans au moment des faits (2015). Il avait d’ailleurs connu la prison.

Par Oumeïma Er-rafay
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