Le royaume a réussi un coup de maître en matière de diplomatie sportive. En organisant, vendredi dernier, les travaux de l’Assemblée générale de la Confédération africaine de football (CAF), le Maroc a fait d’une pierre plusieurs coups, explique le journal Assabah du lundi 15 mars.
Le Maroc a d’abord réussi à s’imposer comme un interlocuteur incontournable de la FIFA en Afrique. Gianni Infantino a pu compter sur le patron de la Fédération royale marocaine de football (FRMF), Fouzi Lekjaa, en vue de faire tomber Ahmad Ahmad et faire pression pour pousser les fédérations africaines à choisir une candidature consensuelle. Ce qui fut le cas avec l’élection du Sud-Africain Patrice Motsepe comme nouveau patron de la CAF.
Le Maroc a également réussi à mettre en échec les tentatives des adversaires de l’intégrité territoriale du Maroc, qui voulaient porter atteinte à notre cause nationale, en faisant adopter un article dans les statuts de la CAF qui dispose que pour qu’un pays puisse faire partie de la Confédération africaine de football, il faut qu’il soit reconnu par l’ONU, ce qui n’est bien-sûr pas le cas de l'État fantoche de la "rasd".
Grâce à ce nouveau positionnement du Maroc sur l’échiquier du football mondial, tous les rêves sont désormais permis. Pour nos confrères d’Assabah, le royaume conserve ainsi toutes ses chances pour organiser la Coupe du monde 2030.