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WAC-Al Ahly: la préfecture de Casablanca dévoile son plan de sécurisation du match

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Kiosque360. Le préfet de police de Casablanca a révélé que 4000 hommes veilleront sur la sécurité entourant le match qui opposera ce samedi le WAC à Al Ahly dans le cadre de la finale retour de la Ligue des Champions d’Afrique. De hautes personnalités seront dans les tribunes du Complexe Mohammed V.
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Abdallah Louardi, préfet de police de Casablanca a affirmé que 4000 éléments des forces de l’ordre seront déployés dans et aux alentours du complexe Mohammed V, où sera désigné ce samedi le vainqueur du trophée de la Ligue des champions d’Afrique, entre le Wydad local et Al Ahly du Caire.

Selon les propos du préfet rapportés par Al Ahdath Al Maghribia de ce week-end des 4-5 novembre, la DGSN, qui prend très au sérieux la sensibilité de cette rencontre et mise sur sa bonne organisation, a pris toutes les mesures nécessaires en vue d’assurer la sécurité optimale du nombreux public attendu à cette rencontre décisive, ainsi que les nombreuses hautes personnalités d'ici et d'ailleurs qui suivront cette rencontre.

Il a précisé que des renforts humains et logistiques ont été déployés à Casablanca, où des réunions marathoniennes ont eu lieu durant toute cette semaine, avec la participation de toutes les unités et régions sécuritaires qui veilleront de concert sur ce match.

Parmi les mesures prises, Louardi a cité la mise en place de 12 points de contrôle placés au niveau de tous les accès  menant au Complexe Mohammed V et ce, pour éviter l’entrée au stade de personnes non munies de tickets et autres fauteurs de troubles. Il s’agit aussi d’éviter que les supporters aient en leur possession des fumigènes ou objets dangereux interdits d’accès au stade.

Une attention particulière sera  accordée aux supporters égyptiens, qui seront séparés des supporters wydadis depuis leur départ vers le stade jusqu’à leur installation dans une tribune séparée, en vue d’éviter les frictions entre les deux camps. Car forcément il y aura un perdant et, donc, des risques de dérapages.

Par Mohammed Ould Boah
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