"Le temps passe mais on ne peut pas oublier cet atroce moment qu'on a vécu ensemble, a exposé le technicien national. Même si sur le moment on n'était pas au courant de ce qui se passait (autour du Stade de France), l'après-match et les jours suivants, jusqu'au match à Wembley (amical contre l'Angleterre quelques jours plus tard), émotionnellement, c'était quelque chose de très fort".
Les attentats de Paris, revendiqués par l'organisation Etat islamique, avaient provoqué la mort de 130 personnes.