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Mondial 98: après avoir parlé de «magouilles», Platini rétropédale

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Kiosque360. Après avoir admis une «magouille» lors de la préparation du calendrier de la Coupe du Monde 1998 en faisant en sorte que le Brésil et la France ne puissent se retrouver qu’en finale, Michel Platini vient de se rendre compte qu’il a commis une énorme bourde qu’il tente désormais de rectifier.
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«Quand on a organisé le calendrier, on a fait une petite magouille…». C’est la phrase qu’a prononcée l’ancienne gloire du football français, Michel Platini, lors d’une interview accordée cette semaine. La «magouille» dont parle Platoche, c’est la tentative des organisateurs de faire en sorte que le Brésil et la France ne se retrouvent qu’en finale de la compétition.

Cette «révélation» a aussitôt fait jazzer et celui qui était à l’époque co-président du Comité français d'organisation (CFO) du Mondial 1998 tente désormais d’éteindre l’incendie qu’il a lui-même déclenché, rapporte le site foot01.com dans un article publié ce dimanche 20 mai.

«Plus que le fond, c’est surtout la forme qui est mise en cause» dans les propos formulés par l’ancien président de l’UEFA, indique le site sportif. C’est d’ailleurs l’usage du mot «magouille» qui a du mal à passer. Pour foot01.com, «ce dernier mot a fait tousser pas mal de monde, certains étant persuadés que Michel Platini a toujours du mal à digérer la victoire de l'équipe de France en 98 et a dérapé».

Pour tenter d’éteindre l’incendie, Michel Platini a dépêché un de ses conseillers en communication, Jean-Christophe Alquier, pour faire une sortie dans le journal L’Equipe. «Quand j’ai vu vendredi la vidéo, je me suis dit “oh putain”. Lors de cette conversation de copains à l’antenne, Michel ne fait pas attention au vocabulaire. Or le mot “magouille” est totalement inadapté pour qualifier un usage. Et il en a parfaitement conscience, puisqu’il me l’a dit vendredi. Michel est brut de décoffrage, d’une spontanéité incroyable. Mais c’est ce qui fait sa singularité et sa force.

Chez les grands dirigeants, il y a les politiques, qui ne tombent jamais car ils ont l’obsession de conserver leur pouvoir. Et les visionnaires qui sont plus poètes, plus “free style”. Mais avec eux, il y a souvent de la casse. Voilà…», a confié ce dernier.

Par Fayçal Ismaili
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1 commentaires /

  • nono
    Le 21 May. 2018 à 00h20
    Avec tous ça c'est Benzema l'escroc pas fréquentable.
    Cela me rappelle un match Algérie Allemagne.
    Moralité les blancs ne sont pas fréquentable.
    Au faites Monsieur platini ou on est votre affaire?
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