Le regret est parfois défini comme un déplaisir de n’avoir pas fait quelque chose, et c'est exactement ce que ressentent les médias, les supporters et les dirigeants algériens. Ils regrettent tous Hervé Renard.
L'actuel sélectionneur du Maroc aurait pu prendre les commandes des Fennecs en 2015. Christian Gourcuff était sur le départ à l'époque et Hervé Renard était, lui aussi, libre après son limogeage par le club de Lille en France.
Tout le monde en Algérie attendait la signature d'Hervé Renard avec la fédération algérienne de football. Le technicien français avait, même, donné son accord de principe lors d'une déclaration: "J'espère qu'un jour je serai désigné à la tête de cette équipe algérienne que j'apprécie beaucoup", a-t-il affirmé.
Mohamed Raouraoua, le président de la Fédération algérienne de l'époque, n'a pas donné son accord pour l'arrivée de Renard. Ce faisant il avait donc donné une chance en or à son homologue marocain Fouzi Lekjaâ de recruter Hervé Renard. Un choix qui était finalement très judicieux.