Selon le rapport, les clubs tunisiens, algériens, irakiens et jordaniens ont réalisé également des bénéficies de la vente de leurs joueurs lors de la période 2019-2023, tandis que les clubs égyptiens n’ont enregistré des bénéficies qu’en 2022 et 2023.
Les revenus des clubs arabes grâce à la vente des joueurs se sont élevés à 220 millions de dollars lors de la période 2019-2023, note la même source, relevant que les clubs arabes ont tiré parti de la forte présence de l’Arabie Saoudite sur le marché des transferts. Les bénéficies réalisés par ces clubs grâce à la vente des contrats de leur joueurs à l’étranger ont augmenté de 41% en 2023, soit 50,7 millions de dollars, contre 36 millions de dollars en 2022.
Pour ce qui est des dépenses nettes des clubs saoudiens sur le marché des transferts, elles se sont élevés à près de 1,22 milliard de dollars lors de la période 2019-2023, dont 953 millions de dollars en 2023. Les clubs qataris sont les deuxièmes à l’échelle arabe en termes de dépenses nettes (307 millions de dollars) au cours des 5 dernières années, suivis des clubs émiratis, égyptiens et libyens.
Il est à noter que le rapport “Mercato Al Sharq 2023” repose sur des données tirées de rapports officiels de la Fédération Internationale de Football (FIFA).