La fête continue avec, en trame, le derby Maroc-Algérie
Animées par l’esprit qui traverse le sport national depuis quelques mois, on peut espérer de belles surprises. Comme le dit l’adage, «Il vaut mieux espérer qu’attendre».
Animées par l’esprit qui traverse le sport national depuis quelques mois, on peut espérer de belles surprises. Comme le dit l’adage, «Il vaut mieux espérer qu’attendre».
Que deviennent les trois célèbres bannis de l’ère Vahid? Qu’ont-ils réussi sur le terrain, pour envisager un éventuel retour en sélection?
Se faire traiter de pute est la condition sine qua non quand on rembarre un gros lourdaud ou qu’en règle générale, on fait perdre ses moyens à un homme à l’égo mal placé, et qui de surcroît manque de répartie.
«Allez mon frère noir, pousse ton ballon dans les filets du Polisario, déchire-les, déchire-les!»
En matière de sport comme d’éducation, le constat est le même. Le privé, c’est la qualité. Le public, le manque de moyens. Au lendemain de l’échec des J.O. de Tokyo, on aimerait donc bien savoir quels sont le programme et le plan d’avenir prévus pour la jeunesse marocaine.
Que le Wydad et le Raja de Casablanca, deux locomotives du football national, soient menacés d’interdiction de recrutement, et, pire, de participation aux compétitions internationales, cela interpelle à plusieurs égards.
18 buts en 5 matches de Botola! Ce n’est pas un miracle, c’est une hérésie nourrie aux effets spéciaux made in Hollywood!
Est-ce que la Coupe du Trône existe encore au Maroc? Théoriquement oui, mais qu’en est-il réellement?
Depuis la reprise de la Botola, le Raja a joué 7 matchs, alors que l’Ittihad de Tanger n’en a disputé aucun. Incroyable!
Une caïda a fait le spectacle en interrompant un match «à cause du coronavirus». Pour le reste, le Raja va bien et les autres équipes dorment encore…
Alors qu’ils sont jeunes et ont des progrès à faire, les meilleurs talents de la Botola partent s’enterrer dans le cimetière du Golfe ou d’un autre championnat exotique.
Quand on ferme les yeux et on ouvre sa boite de souvenirs, il y a forcément un but, une reprise de volée, un petit pont… C’est toutes ces petites choses qui manquent aujourd’hui à nos vies.