Si la FRMF a réussi à circonscrire l’épineux dossier du limogeage de Badou Zaki, à travers une solution à l’amiable avérée, elle n’est pas pourtant au bout de ses peines.
Il est vrai que quand un sélectionneur national est limogé, c’est tout son staff technique, le plus souvent formé de proches, qui le suit dans sa chute. Ainsi plusieurs ex-collaborateurs de Zaki, à savoir Said Chiba, 2e entraîneur adjoint, El Amrani, préparateur physique et Fouhami, entraîneur des gardiens, ont reçu, par voie postale, des lettres recommandées leur signifiant la résiliation des contrats qui les liaient à la FRMF.
Or, Said Chiba a répondu à son ancien employeur qu’il exige, pour la résiliation en bonne et due forme de son contrat, le paiement des salaires pour toute la durée prévue par ce contrat. Soit jusqu’à l’échéance 2018, comme pour Zaki. Le montant en cause tournerait autour de 500.000 DH.
Said Chiba a invoqué un licenciement abusif, qui pourrait l’amener à saisir la justice au cas où ses droits ne lui sont pas versés.
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