L’entraîneur Marc Wilmots a été démis de ses fonctions au Raja de Casablanca, ce dimanche 20 février. Un licenciement qui a fait couler beaucoup d’encre en France, comme en Belgique, pays d’origine du technicien.
«À peine le temps de prendre ses Marc», écrit So Foot, avant de poursuivre ainsi: «Depuis son départ de Belgique, le technicien peine à trouver un projet dans lequel il s'inscrit dans la durée».
RFI rappelle également la courte durée de l’expérience du technicien, viré «trois mois seulement après son arrivée sur le banc du club marocain». «Un petit tour et puis s'en va», écrit beIN Sports qui affirme qu’il a fait l’«objet de divisions en interne».
«Ce limogeage se place sur fond de guerre froide au sein du club», ajoute DH en Belgique. Le média estime également que cette éviction arrive dans «un timing surprenant puisque le Raja restait sur deux victoires en Ligue des champions et dominait son groupe».
«Le technicien belge n'a eu l'occasion de que disputer 11 rencontres», rappelle RMC, alors que Walfoot trouve que c’est une «décision qui peut surprendre».
Pour l’instant, le nom du successeur de Wilmots n’est toujours pas connu. Des rumeurs font état d’une arrivée du Tunisien Mondher Kebaier, ancien sélectionneur des Aigles de Carthage, ou de Zoran Manojlovic, technicien serbe, récemment passé par le Wydad.
