Suite à l’élimination humiliante des Fennecs dès le premier tour de la Coupe d’Afrique des Nations, la junte militaire qui gouverne l’Algérie a désigné un nouvel ennemi de la nation: Djamel Belmadi. Le non-respect des engagements contractuels ainsi que les méthodes de gangster pour intimider un entraîneur de football sont des indicateurs d’un Etat failli.
La sortie médiatique de Derradji n’est pas anodine. Il était probablement en compétition pour le prix de l’excellence journalistique délivré par le président Tebboune. Une compétition qui ne mérite qu’un geste, celui de tirer la chasse.
Il ne lâche pas prise, le sieur, qui n’a d’yeux que pour le Maroc, négligeant fichtrement son métier de «commentateur sportif». On lui reconnait, cependant, une certaine «honnêteté intellectuelle», celle de ne pas cacher -sans ciller- pour qui il roule, à savoir la junte au pouvoir à Alger. Et si tu nous lâchais la grappe pour t’occuper des oignons (dont les prix sont inabordables dans ton propre pays), suggèrent sympathiquement les intervieweurs de la Brigade.
Cette couverture médiatique servira à accompagner les éventuels succès sportifs du pays et à mettre en scène des complots, ourdis ailleurs, pour camoufler les véritables raisons des défaites.
Pour détourner l'attention des Algériens des problèmes économiques et sociaux, et surtout de la répression du régime militaire qui s’abat sur la Kabylie depuis quelques semaines, Hafid Derradji mobilise ses compatriotes à s’engager dans la diabolisation du Maroc.
Sa notoriété en tant que commentateur de matchs au plus grand palmarès d’interjections n’a d’égal que l’étendue de ses talents de cartographe et ses connaissances en géopolitique et des grands enjeux de ce monde. Se croyant (vraiment) intelligent, mais plus pathétique que jamais, Hafid Derradji persiste à vouloir imposer son insipide «culture» sur les réseaux sociaux. La Brigade a dû intervenir.
Le mot n'était jusqu'ici qu'à peine murmuré, ou balancé par quelques moqueurs. Mais cette fois, il n'est plus possible de faire l'autruche ou de se voiler la face, l’Algérie est gouvernée par des fous.
Le régime algérien, candidat à l’organisation de la CAN 2025, prépare-t-il son opinion publique à un nouvel échec? C’est en tout cas ce que laisse croire une récente publication du plus célèbre dictaphone footballistique des caporaux au pouvoir à Alger, Hafid Derradji. Les détails.
Alors qu’il n’a eu de cesse de s’en prendre au Maroc et à son équipe nationale, se faisant la voix de ses maîtres du palais d’El Mouradia, le commentateur de «BeIn Sports» a fini par reconnaitre le mérite des Lions de l’Atlas. Les aveux.
Fidèle voix de ses maîtres, spécialiste des analyses foireuses, Hafid Derradji ne désespère pas de voir l'Algérie participer à la Coupe du monde. Le commentateur sportif affirme même, sans montrer le moindre doute, que le match contre le Cameroun qui a signé l'élimination des Fennecs après une cuisante défaite, sera rejoué le 23 novembre.
Le Sommet arabe a salué les efforts continus du Roi Mohammed VI pour la défense de la ville sainte. Des éloges, qui semble-t-il, ne sont pas au goût de la plus célèbre brebis galeuse des caporaux au pouvoir à Alger, Hafid Derradji.
Il n’arrive toujours pas à digérer le piège que lui a tendu la militante syrienne Maysoun Berkdar et c’est de son plein gré qu’il se livre à La Brigade et avoue avoir pris goût à la parlote. Pour peu qu’elle soit rémunérée et peu importe qui paie. Au risque de se faire avoir comme un débutant par bien plus costaud en la matière.
