Il a pour prénoms Brahim Abdelkader et pour nom Díaz. C’est dire qu’entre le Maroc et l’Espagne, le cœur de la star montante du Real Madrid vacille. Attendu, le joueur fait un pas en avant vers l’antre des Lions de l’Atlas pour deux pas en arrière. Pour en avoir le cœur net, et tenter de le convaincre, la Brigade se saisit du dossier.
Depuis 1976, le Maroc n’a pas remporté de Coupe d’Afrique. Cette fois, en Côte d’Ivoire, serait-elle la bonne? D’après les débuts des Lions, l’espoir est permis. Madame Coupe d’Afrique nous donne par ailleurs quelques tuyaux.
Un Walid peut en cacher un autre. Si le Maroc a son Walid (Regragui), faiseur de miracles, l’Algérie, elle, a ramené son Walid (Sadi) à la tête de la FAF, pour redorer le blason de son football, qui connaît des jours bien sombres. Malheureusement pour le nouveau venu, la malédiction du régime militaire en place l’a vite frappé, puisqu’il a essuyé son premier revers en retirant son pays de la course à la candidature des CAN 2025 et 2027. Et cerise sur le gâteau: c’est le Maroc qui va accueillir la compétition en 2025. Le pauvre est inconsolable.
En Arabie saoudite, être le meilleur buteur de son club et du championnat, malgré la présence de stars mondiales, ne garantit pas une place au soleil, et Abderrazak Hamdallah en sait quelque chose. Le public d’Al Ittihad veut la tête du Lion de l’Atlas, qui prend toute la lumière à un certain Karim Benzema. Convoqué par la Brigade, Hamdagoal, autoproclamé star incontestée de la ligue saoudienne, ne compte pas se laisser faire et promet de gâcher la vie des fans des Tigres en marquant plus de buts. Le monde à l’envers.
Convoqué par le sélectionneur de la Roja, le sulfureux Luis De la Fuente, le prodige d’origine marocaine Lamine Yamal donne du fil à retordre à la Brigade. Gardant espoir, celle-ci fait appel à Ezzalzouli pour une opération infiltration (ou séduction) pour le convaincre de rejoindre les Lions de l’Atlas. S’il réussit ce coup, Abde a carte blanche pour rater tous les autres, même sur le terrain de jeu. Réussira-t-il?
À part Regragui, personne n’ose convoquer Yassine Bounou, le gardien de buts des Lions. Mais les fins limiers de La Brigade ne l’entendent pas de cette oreille. Ils veulent surtout comprendre et nous éclairer sur le deal entre Bounou et Al-Hilal, son nouveau club. Sans détour, l’enfant de Ben Jdiya répond avec une imparable franchise. Du Bounou tout craché.
Sa notoriété en tant que commentateur de matchs au plus grand palmarès d’interjections n’a d’égal que l’étendue de ses talents de cartographe et ses connaissances en géopolitique et des grands enjeux de ce monde. Se croyant (vraiment) intelligent, mais plus pathétique que jamais, Hafid Derradji persiste à vouloir imposer son insipide «culture» sur les réseaux sociaux. La Brigade a dû intervenir.
Sa bévue contre le Brésil a failli embarrasser les siens et les supporters. Mais ce n’est que partie remise puisque le grand keeper des Lions de l’Atlas a par la suite sorti le grand jeu pour contribuer à une victoire historique contre la Seleção. Pour Yassine Bounou, il vaut mieux donner des sueurs froides au début pour l’emporter au final que le contraire. Ne faites surtout pas le parallèle avec Halilhodzic, plaide-t-il, amusé.
Commentateur sportif algérien et ténor auto-proclamé de la haine du Maroc, Hafid Derradji ne digère toujours pas l’annonce de la candidature du Royaume, dans le cadre d’un trio composé avec le Portugal et l’Espagne, pour l’organisation du Mondial 2030 de football. Pris de court, au même titre que ses caporaux, il avoue sa peine et son désarroi de voir le pays voisin avancer sur tous les plans alors que le sien va droit dans le mur.
Said Chengriha, patron de la junte militaire au pouvoir en Algérie, est hors de lui. Et il y a de quoi: le Sénégal qui lui ravit la Coupe du CHAN à domicile et la militante Amira Bouraoui qui file entre les doigts de ses poulets en Tunisie. Au QG de son armée, il laisse exploser son ire.
Hafid Derradji, le commentateur algérien qui braie sur beIN Sports, a détourné des images de la neige à Ifrane pour dire que cela se passait dans une ville de la Corée de l’Est. À la Brigade, il reconnaît son méfait, mais rien ne garantit qu’il ne repassera pas à l’acte, cleptomane récidiviste qu’il est.
Président de la commune de Ksar El-Kébir, Mohamed Simou s’enorgueillit de l’accueil réservé au Lion de l’Atlas Achraf Hakimi et de l’avoir gavé… de bissara. Coutumier de la sortie de route, ce responsable s’autorise des rêves diurnes totalement décomplexés pour sa ville en voulant emboiter le pas à Hamid Chabat à Fès. La Brigade l’a convoqué pour en avoir le cœur net.
