La sélection algérienne de football et l’ensemble de la délégation l’accompagnant sont arrivés hier, lundi 6 septembre en début d’après-midi, à l’aéroport de Marrakech-Ménara, dans la perspective du match Burkina Faso-Algérie pour le compte des éliminatoires de la Coupe du monde 2022.
Un accueil des plus chaleureux a été réservé par les responsables marocains à leurs hôtes algériens. Un état de fait qu’ont mis en exergue, dans des déclarations pour Le360 Sport, le président de la Fédération algérienne de football, Charaf-Eddine Amara, et le sélectionneur Djamel Belmadi.
Fidèle à sa réputation de pays d’accueil de pays africains, dont nombreux, ayant vu leurs stades non-homologués par la CAF, ont opté pour le Royaume. Le Maroc a mis à disposition des membres de la délégation algérienne toutes les conditions sine qua non pour préparer son match.
C’est ce qu'ont d’ailleurs relevé les médias algériens, même ceux qui sont hostiles au Maroc. Entre autres titres, on peut lire: «Eliminatoires Mondial 2022: les Verts bien accueillis au Maroc».
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«Avec un voyage pas trop long, un bon accueil et des conditions de séjour idoines, les Verts sont dans les meilleures dispositions pour réussir le match capital face à l’autre favori du groupe A», écrit un média proche de la junte militaire, rappelant que Fouzi Lekjaa, président de la Fédération royale marocaine de football, avait promis un «accueil royal».
En effet, promesse a été tenue. Et tout compte fait, c’est dans l’ordre des choses. Le Maroc a toujours été un pays accueillant pour son voisin de l’Est. Ce n’est pas, aujourd’hui, qu’une décision intempestive et sans fondements, qui le détournera de son choix irréversible.