Ça, c’est Ammouta!
Le meilleur atout du Maroc pour remporter le CHAN s’appelle Ammouta. Mais le plus grand obstacle aussi s’appelle Ammouta…
Le meilleur atout du Maroc pour remporter le CHAN s’appelle Ammouta. Mais le plus grand obstacle aussi s’appelle Ammouta…
Le Maroc joue aujourd’hui son premier match du CHAN, avec l’espoir fou de gagner de nouveau la compétition. Malgré certaines réserves, on peut y croire…
Pour éliminer les Egyptiens d'Al Ismaily, le Raja doit comprendre pourquoi il a perdu face aux Sénégalais de Teungueth.
Les mauvais élèves parmi les clubs de l’élite seront interdits de recrutement, avant de subir peut-être d’autres sanctions. Enfin!
Nos arbitres doivent encore apprendre à sortir des jaunes et des rouges devant les garçons bouchers qui gâchent, en toute impunité, les meilleurs matchs de la Botola.
Rares sont les Lions de l’Atlas, revenus au bled pour servir et partager leur savoir en tant qu’entraineurs ou dirigeants, et qui auront réussi leur mission. A quoi imputer ces échecs quasi-programmés?
Que dire de ce troisième mariage entre le Wydad et Faouzi Benzarti? Les deux premiers n’avaient duré que six petits mois et des poussières. Combien durera ce troisième «amour»?
Pour ne pas connaitre le même sort que Munir El Haddadi, les joueurs binationaux doivent réfléchir deux fois, voire temporiser, avant de répondre à leur première convocation en sélection.
Pour aller plus haut, le Wydad et le Raja doivent être capables de garder des Badr Banoun, des Achraf Bencharki, de recruter des Kodjo Laba, des Youcef Belaïli.
A lui seul, le Wydad a consommé pas moins de cinq entraineurs en une saison à peine. Vous vous rendez compte?
Bravo et merci Berkane, qui entre définitivement dans la cour des grands d’Afrique. Même si la finale doit être oubliée au plus vite…
Al Ahly et le Zamalek sont venus battre, assez tranquillement, le Wydad et le Raja à Casablanca. Sans doute trop tranquillement, et c’est cela qui fait mal.