Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'en arrivant au Wydad, René Girard a assuré ses arrières. Être coach au WAC, c'est être sur un siège éjectable. Houcine Ammouta, champion d'Afrique peut le confirmer. Actuellement, c'est le technicien français, arrivé il y a un mois, qui est sous pression.
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Éliminé de la Coupe du Trône puis de la Coupe Zayed des clubs champions, il est pointé du doigt comme premier responsable des mauvais résultats du club en ce début de saison. Champion de France avec Montpellier en 2012, le technicien n'a pas trouvé la formule au Wydad, mais a bien assuré ses arrières au moment de signer son contrat.
Si Said Naciri veut s'en séparer, il devra lui verser pas moins d'1 million de dirhams. Mais selon des sources, le président du club casablancais, a ajouté une clause au contrat qui oblige Girard à remplir ses objectifs d'abord, pour espérer toucher la totalité de ses indemnités en cas de départ. Or, ses joueurs sont sortis bredouilles des compétitions dans lesquelles le Wydad était engagé.
Pour le moment, le divorce n'est pas acté même si plusieurs sources confirment que le WAC chercherait déjà un remplaçant au Français. Une réunion devrait se tenir ce lundi entre le président et le staff technique pour déterminer les raisons des échecs, et décider du sort de Girard.
