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Vidéo. Maroc-Egypte, sa reconversion, Zaki, le Kawkab… Youssouf Hadji se confie

Youssef, le cadet des Hadji, prépare sa reconvention après sa retraite. Dans une interview avec Le360sport, l’ancien Lion de l’Atlas évoque sa nouvelle vie, le match Maroc-Egypte, son choix de devenir entraineur et l’épopée de 2004.

«Notre sélection a clairement les capacités de battre l’Égypte, mais il va falloir sortir un grand match». Dans une entrevue accordée au Le360 Sport, Youssouf Hadji revient sur les chances des Lions de l’Atlas dans ce choc des quarts de finale de la CAN 2021 qui les opposent aux Pharaons égyptiens. 

Pour l’ancien capitaine de la sélection nationale, le potentiel offensif de la sélection est un atout appréciable, encore faut-il faire preuve de réalisme devant le but à ce stade de la compétition.  

Ce fut le cas lors des huitièmes de final, où l’attaque marocaine est parvenue à chauffer les gants du portier malawite à maintes reprise, mais sans parvenir à concrétiser ces occasions. «Lorsqu’on se crée autant d’occasions, il faut parvenir à les concrétiser devant les buts adverses», lance l’ex-joueur de l’ASNL de Nancy.

Faisant le parallèle entre l’actuel équipe nationale et celle de 2004 qui a atteint la finale de la CAN en Tunisie, l’ancien Lion de l’Atlas estime qu’il y a beaucoup de similitudes. «Avec de bons et jeunes joueurs et surtout un coach, Vahid Halilhodzic, qui ressemble beaucoup à Badou Zaki en ce qui concerne la rigueur et le discipline», juge-t-il.

L’ancien joueur de l’équipe nationale entre 2003 et 2012 (64 sélections, 16 buts) s’est confié sur sa reconversion. «Je passe mes diplômes avec la Fédération aux côtés d’anciens grands joueurs qui ont fait la gloire du football marocain. Je viens de valider mon diplôme CAF B. Je me prépare tout doucement pour ce métier d’entraineur».

Enthousiaste et heureux de sa reconversion, qu'il estime une continuité de son métier de footballeur: «J’étais capitaine d’équipe et je gérais pas mal de choses. C’est donc dans l’ordre des choses, mais je dois passer d’abord par la phase apprentissage».

Poursuivant ses confidences, Youssef Hadji dit qu’il se sent plus proche de Youssef En-Nesyri par rapport au jeu de tête et à l’engagement. Quant à ses fameuses célébrations avec l’équipe nationale, il révèle que «c’est un truc instinctif qui est venu comme ça et en plus on s’amusait entre nous joueurs à le faire».

Actuellement installé à Marrakech, Youssef Hadji a donné également son avis sur la situation du KACM qui se bat pour assurer son maintien en deuxième division. «Je suis de très près les résultats. C’est dommage de voir un club historique dans une telle situation», regrette l’ancien capitaine de l’équipe nationale.

Par Ayoub Ibnoulfassih
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