Suite à son élimination face à la tenante du titre, l'Italienne Lucia Bronzetti, mardi 21 mai, lors du premier tour de la 22e édition du Grand Prix Lalla Meryem, Malak El Allami s'est confiée sur ses débuts, ses impressions sur le tournoi, son idole, et d'autrs points.
Issue d’une famille passionnée de tennis, elle a commencé à pratiquer ce sport dès son plus jeune âge, suivant les pas de sa grande sœur, ex-championne du Maroc et d’Afrique, Fatima-Zahra. Pour Malak, jouer au tennis était une évidence.
Malak a souligné que le niveau de cette 22e édition du tournoi est très élevé. «Toutes les joueuses sont là pour préparer Roland Garros, prévu la semaine prochaine à Paris, et toutes les jeunes sont là pour gagner et obtenir de bons résultats», a-t-elle déclaré.
Concernant son élimination face à Lucia Bronzetti, tête de série n°4, Malak a admis qu’elle n’était pas favorite. «L’Italienne a très bien joué, elle ne m’a laissé aucune chance de défendre ou de jouer à mon aise. Le score était dur pour moi», a précisé El Allami.
Malgré cette défaite, la jeune marocaine de 17 ans reste déterminée et espère progresser pour obtenir de meilleurs résultats lors des prochains tournois. Bien qu'elle soit déçue par son élimination, elle reste optimiste quant à son avenir dans le tennis et continue de travailler dur pour réaliser ses ambitions.
Pour Malak El Allami, la joueuse de tennis tunisienne Ons Jabeur est son idole: «Jabeur représente la preuve que tout est possible. Étant également africaine, elle s'est battue depuis ses débuts pour arriver à ce niveau. Cela a pris du temps, mais elle a réussi à avoir une carrière incroyable».