Adil Azeroual

De retour à la CAN après un parcours de qualification exemplaire, les Comores abordent l’édition 2025 avec un collectif solide et des ambitions mesurées. Outsiders du groupe du Maroc, du Mali et de la Zambie, les Cœlacanthes espèrent confirmer leur progression sur la scène africaine.

Portée par une histoire marquée par la tragédie et la résilience, la Zambie aborde la CAN 2025 avec humilité et détermination. Sacrés champions d’Afrique en 2012, les Chipolopolo retrouvent la scène continentale animés par l’envie de confirmer leur retour au premier plan et de s’inscrire, à nouveau, parmi les équipes capables de bousculer la hiérarchie.

Avec un groupe solide, une campagne qualificative maîtrisée et un sélectionneur qui fixe la barre haut, le Mali arrive à la CAN 2025 avec un objectif assumé: goûter aux demi-finales et rêver, pourquoi pas, d’un premier sacre continental.

Cinquante ans après son unique sacre continental, le Maroc s’avance vers la CAN 2025 avec une conviction rare et une génération taillée pour l’histoire. Portés par un public incandescent et une dynamique exceptionnelle, les Lions de l’Atlas abordent leur tournoi avec une seule idée en tête: transformer l’attente en délivrance et inscrire, enfin, 2025 dans la légende du football marocain.

Vingt-huit ans après France 98, le Maroc retrouve le Brésil et l’Écosse sur sa route mondiale. Un tirage chargé d’émotion, qui ravive le souvenir d’une épopée brillante stoppée net par un scénario cruel.

Les Lions de l’Atlas vont connaître, ce vendredi 5 décembre, leurs adversaires lors de la Coupe du Monde 2026. Quel serait le meilleur et le pire tirage pour les coéquipiers d’Achraf Hakimi?

Ce qui arrive n’est pas une catastrophe. C’est une opportunité. Celle de faire tomber les masques et de sortir des ambiguïtés qui minent notre football depuis trop longtemps.

À quelques mois du coup d’envoi du Mondial 2026, le Maroc connaît désormais son statut: les Lions de l’Atlas seront versés dans le chapeau 2 pour le tirage au sort du 5 décembre à Washington.

Dans une soirée où ils ont globalement manqué d’inspiration, les Lions de l’Atlas ont livré une prestation en demi-teinte, incapables de réellement emballer le match malgré une domination stérile. Entre un milieu hésitant, une attaque en manque cruel de réalisme et quelques individualités au ralenti, les enseignements de cette rencontre rappellent que la CAN approche à grands pas… et que les certitudes, elles, se font encore attendre.