Deux ans après la première Coupe du monde organisée en hiver, tenue au Qatar, l’éventualité de voir de prochaines éditions se jouer en pleine saison sportive, se fait de plus en sentir. Entre les effets de la chaleur et du calendrier sur les joueurs et la «décentralisation» du football de plus en plus loin de l’Europe, les arguments ne manquent pas.