Le jugement dans l’affaire de l’agression de Badr Hari contre son ex-femme et mère de ses cinq enfants a été rendu ce jeudi 18 septembre.
Le champion maroco-néerlandais de kickboxing a a été condamné à 24 heures de travaux d’intérêt général, indique De Telegraaf, ajoutant que le parquet a confirmé cette sentence.
Les faits remontent au 2 février dernier. La légende du kickboxing, soupçonnée d’agression contre sa femme, a été arrêté et placé en détention provisoire avant d’être libéré trois jours plus tard.
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«En plus de l’ordonnance de travaux d’intérêt général, Hari a également reçu une interdiction de contact, une interdiction de localisation d’un an et doit payer des dommages et intérêts», précise-t-on.
Et d’ajouter: «la sentence lui a été signifiée et qu’il avait deux semaines pour interjeter appel, ce qu’il n’a pas fait rendant la sentence définitive», a annoncé le ministère public.
De Telegraaf rappelle que Badr Hari avait déjà été condamné en octobre 2025 à deux ans de prison, dont dix mois avec sursis, pour l’agression de l’homme d’affaires Koen Everink dans une loge de l’Amsterdam ArenA lors de la soirée Sensation White de 2012.




