Entre couscous, caftan et Lions de l’Atlas: le Maroc vu par Stacy, une Kényane de Rabat

VidéoEn marge du CHAN au Kenya, Le360 Sport est allé à la rencontre de Stacy, une Kényane installée à Rabat, qui raconte son attachement au Maroc, à sa culture et à ses Lions de l’Atlas.

Le 17/08/2025 à 11h15

À l’occasion du CHAN qui se tient actuellement au Kenya, Le360 Sport est allé à la rencontre de Stacy, une Kényane mariée à un Marocain et installée à Rabat depuis un an. De passage à Nairobi pour quelques jours de vacances avant de retrouver son quotidien au Maroc, elle a accepté de partager ses impressions sur son pays d’adoption, sa culture et… le football.

Souriante, Stacy raconte avec enthousiasme son histoire. Mariée depuis quatre ans à Simohammed, qu’elle a rencontré au Kenya en 2021, elle se dit aujourd’hui «pleinement intégrée et chaleureusement accueillie» par les Marocains.

Le charme du caftan et les saveurs du couscous

Entre son amour pour la cuisine traditionnelle, «le couscous du vendredi, le tajine, la harira…», et son admiration pour l’élégance des Marocaines vêtues de caftans, Stacy ne cache pas sa fascination pour la richesse culturelle du Royaume.

«Les Marocaines portent le caftan avec une grâce et une fierté incroyables», confie-t-elle.

Paysages et diversité

Elle s’émerveille aussi de la variété des paysages marocains: la ville bleue de Chefchaouen, le charme de Tanger, les plages d’Agadir et d’Essaouira. «Le Maroc est tout simplement splendide», assure-t-elle, des étoiles plein les yeux.

Le Maroc, géant du football

Impossible de clore l’entretien sans parler football. Stacy, passionnée, livre sans hésiter son verdict: «en football, on peut tous être d’accord: le Maroc est un géant. J’ai hâte de voir les performances des Lions de l’Atlas pendant ce CHAN».

Premiers mots en darija

Peu à peu, elle s’essaie aussi à la langue locale. Avec un sourire timide, elle lance en darija : «Salam alaykum, labas, safi, bssaha…». Avant de conclure: «je continue d’apprendre petit à petit, la prochaine fois je ferai mieux».

Par DNES à Nairobi Anas Zabari et Oumeïma Er-rafay
Le 17/08/2025 à 11h15