Chantage à la sextape: quand le Premier ministre français achève bien Benzema

Karim Benzema à l'issue de sa garde à vue le 5 novembre 2015 à Versailles.

Karim Benzema à l'issue de sa garde à vue le 5 novembre 2015 à Versailles.. DR

Le Premier ministre français, Manuel Valls, n’a pas accordé la moindre circonstance atténuante à Benzema dans l’affaire du chantage à la sextape. Pour lui, un joueur qui n’est pas exemplaire, n’a pas sa place en équipe nationale.

Le 01/12/2015 à 12h17, mis à jour le 01/12/2015 à 12h20

La messe a-t-elle été dite quant à un probable retour de Benzema en équipe de France? En tous les cas, les propos du Premier ministre français, Manuel Valls,  laissent entendre que son implication dans l’affaire de la sextape l’élimine automatiquement de l’équipe des Bleus.

Et d’argumenter: «S'il y avait un ministre mis en examen, il ne serait plus au gouvernement(...) D'une certaine manière, c'est pareil pour l'équipe de France».

Rappelons que le mois dernier, Benzema a été mis en examen pour complicité de tentative de chantage à l’encontre de son coéquipier en équipe nationale, Mathieu Valbuena.



Le 01/12/2015 à 12h17, mis à jour le 01/12/2015 à 12h20