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Et si c’était Zidane qui avait empêché Juppé de devenir président

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Kiosque360. En 2014, Zinedine Zidane était à deux doigts de devenir entraineur des Girondins de Bordeaux. Une éventualité qui aurait sans-doute permis d’augmenter la cote de popularité d’Alain Juppé, maire de Bordeaux et candidat malheureux aux primaires pour l’élection présidentielle française.
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Lors du mercato de l’été 2014, la rumeur se faisait insistante. La gloire du football français Zinedine Zidane était à deux doigts de signer avec les Girondins de Bordeaux. Une éventualité qui aurait peut-être permis au maire de la capitale de la Gironde, Alain Juppé, de remporter l’élection présidentielle quelques années plus tard. C’est ce que suppute en tout cas le site sportif Sofoot, dans un article mêlant sport, politique et fiction, et publié ce vendredi 2 juin. Un article pour lequel le portail sportif a choisi comme titre : « Pourquoi Zidane a empêché Juppé de devenir président ».

« À l'été 2014, Zinedine Zidane avait le choix entre la réserve du Real Madrid ou l'équipe première des Girondins de Bordeaux pour débuter sa carrière d'entraîneur. En choisissant la première option, le champion du monde a privé Alain Juppé d'un destin uniquement fait de gloire. », écrit Sofoot en introduction. Mais le site s’imagine ce qu’aurait donné une signature de Zidane avec les Girondins. « Sitôt installé dans la capitale girondine, où il a déjà ses marques, Zinédine ne tarde pas à imprimer sa patte sur l'effectif bordelais », imagine Sofoot, tout en estimant que Zizou aurait sans-doute amené avec lui son fils, Enzo, à Bordeau en tant que meneur de jeu.
 

« À 19 ans, le fiston régale en Ligue 1. Ses caviars empiffrent Isaac Kiese Thelin, jusqu'à ce qu'une suspension de dix matchs, à la suite d'un coup de boule sur Zlatan Ibrahimović, ternisse quelque peu sa fin de saison », ironise le site sportif. Grâce aux succès enchainés par Bordeaux, Juppé aurait eu alors toutes les chances de devenir président. « En 2017, Alain Juppé remporte les primaires de la droite et du centre sans utiliser son temps de parole, l'homme se contentant de sourire, sans postillon. Les élections présidentielles ne sont qu'une formalité. Le maire de Bordeaux est élu dès le premier tour, la plupart de ses opposants ayant préféré déclarer forfait devant tant d'assurance », conclut Sofoot.

Par Omar Sara
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