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La CAF admirative de la «révolution footbalistique» du Maroc

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La Confédération africaine de football se penche sur la réussite fulgurante du football national, qui connaît une époque sans précédent.
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Alors que les différentes équipes nationales brillent de mille feux, la Confédération africaine de football (CAF) se penche sur cette «montée en puissance» et analyse les facteurs derrière «l’excellence» du football marocain.

L’instance rappelle les réalisations majeures du football national: la demi-finale des A à la Coupe du Monde 2022 au Qatar, le huitième de finale des Lionnes au Mondial 2023 Australie-Nouvelle Zélande, le quart de finale des Lionceaux U17 au Mondial Indonésie 2023 et le sacre des U23 à la CAN disputée l’été dernier à domicile (avec une qualification pour les JO de Paris 2024 à la clef).

Le Maroc a également remporté la Coupe des Confédération de futsal en 2022 en Thaïlande, se hissant à la 8e place du classement mondial.

«Non seulement il s'agissait d'une première pour le Maroc, mais aucun pays africain ou arabe n'avait jamais réalisé l'un de ces exploits auparavant. Ils ont accumulé des réalisations sans précédent en un rien de temps», explique la CAF, admirative.

«Les succès du Maroc en 2022 et 2023, sans parler de sa candidature réussie à l’organisation de la Coupe du Monde de la FIFA 2030 aux côtés de l’Espagne et du Portugal, ne sont pas le fruit du hasard. En fait, tout cela découle d’un plan soigneusement élaboré, qui porte désormais ses fruits pour le football marocain et qui, avec des investissements sportifs à long terme, continuera sûrement à le faire à l’avenir», ajoute l’instance.

La CAF met en avant le rôle essentiel de Fouzi Lekjaa, président de la Fédération royale marocaine de football (FRMF) dont le «nouveau projet» a été couronné de succès.

Elle rappelle l’importance du développement du football féminine, entre autres, pour le dirigeant: «en 2020, la FIFA a accordé aux fédérations de football une subvention de 500 000 dollars américains pour surmonter l’impact du COVID-19, et Lekjaa a décidé d’investir cet argent dans le développement du football féminin au Maroc».

L’instance insiste également sur le développement des infrastructures sportives du pays, notamment la construction de nouveaux stades et la rénovation de ceux existants.

La CAF ne tarit pas non plus d’éloges au sujet de l’Académie Mohammed VI: «c’est devenu une mine d’or pour les équipes nationales marocaines et un élément clé de leur succès sur la scène mondiale».

La Confédération rappelle que la Fédération a également réussi à attirer de nombreux joueurs bi-nationaux à l’image de Hakim Ziyech, Sofyan Amrabat, Achraf Hakimi et Noussair Mazraoui qui auront un rôle prépondérant au Qatar.

La confiance placée en Walid Regragui, un technicien marocain, est également saluée.

Par Le360sport
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