C’est désormais une certitude: Brahim Díaz va poursuivre son aventure au Real Madrid. Selon nos sources, «la prolongation de contrat de l’international marocain est bouclée. Il s’apprête à signer pour plusieurs saisons supplémentaires avec le club merengue».
Brahim est heureux à Madrid. Il se sent respecté, soutenu, et veut s’imposer durablement dans l’effectif de Xabi Alonso. Sa priorité? Gagner sa place sur le terrain, pas aller voir ailleurs.
Et pourtant, les rumeurs n’ont pas manqué. Turquie, Angleterre, Portugal… son nom a circulé avec insistance ces dernières semaines. Mais dans les faits, il n’y a rien. Absolument rien.
Turquie: emballement sans fondement
Du côté de la Turquie, AS a évoqué un intérêt du Fenerbahçe, dirigé par José Mourinho. Il n’en fallait pas plus pour déclencher une vague sur les réseaux sociaux. Depuis plusieurs jours, les supporters stambouliotes bombardent les comptes de Brahim de messages: «Come to Fenerbahçe».
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Ce mouvement populaire trouve son origine dans la relation très proche entre Brahim et Arda Güler, ex-star du Fener et désormais coéquipier du Marocain à Madrid. Lors des festivités du dernier titre, Brahim l’avait même décrit comme «un petit frère».
Mais tout cela ne dépasse pas le cadre de l’affectif. Le Real n’a jamais été contacté par Fenerbahçe. Et du côté du joueur, il n’a jamais été question d’un départ. La direction madrilène est claire: Brahim fait partie du projet.
Angleterre et Portugal: de simples spéculations
Arsenal? Selon Sport.fr, les Gunners auraient coché le nom de Brahim pour renforcer leur animation offensive. Le profil plaît, l’idée circule, mais elle ne dépasse pas le stade de la spéculation. Aucun contact concret, aucune avancée.
Benfica? CNN Portugal a évoqué une possible demande de prêt jusqu’en 2026. Là encore, l’info est venue du camp lisboète, jamais de Madrid. Le Real n’envisage pas de prêt. Le joueur non plus.
À Valdebebas, la tendance est donc à la stabilité. Pour les supporters turcs, portugais ou anglais, il faudra patienter. Le Lion de l’Atlas, lui, continue son chemin à Madrid. Là où il a toujours voulu briller.
