Conçu par l’artiste Mathias Kiss, le trophée, en laiton nickelé doré, fait 54 cm de haut et pèse une douzaine de kilos. Sa forme, plus verticale que le trophée précédent, l’«Hexagoal», demandera un certain effort aux joueurs qui le soulèveront.
Les formes du trophée figurent aussi le «V de la victoire» car «je voulais que ça pue la victoire», a expliqué Mathias Kiss lors d’une conférence de presse au siège parisien de la LFP.
Le président Vincent Labrune, récemment réélu malgré la tourmente de la baisse des droits TV, a déclaré: «On parle beaucoup dans la presse du verre à moitié vide. (...) Mais on essaie de passer d’une marque institutionnelle à une marque émotionnelle, que la LFP soit un acteur à part de l’industrie du divertissement».
Le trophée, tout comme la campagne de communication «Football à la française» lancée en septembre, est représentatif de cette volonté de «mêler sport et culture», «chemin le plus sûr pour élagir notre audience aux jeunes», a estimé Vincent Labrune.