Le football était à l’honneur, ce mardi à Rabat, à l’approche de la grande messe africaine (21 décembre – 18 janvier 2026). Avec «Maroc, Terre de Football», l’ONMT et la FRMF veulent mettre en lumière la passion nationale pour ce sport et la dynamique exceptionnelle qui entoure le Royaume.
L’événement a réuni plusieurs acteurs majeurs du tourisme et du football, dont Mattias Grafström, secrétaire général de la FIFA, Véron Mosengo-Omba pour la CAF, d’anciens internationaux ainsi que le sélectionneur Mohamed Ouahbi. Fouzi Lekjaa était également présent: le rayonnement du Maroc, ses infrastructures et ses grands projets sportifs ont animé les échanges.
Installé à Rabat depuis un mois, Véron Mosengo-Omba n’a pas tari d’éloges: «Le Maroc a mis tellement la barre haute en termes d’infrastructures, d’accueil, d’organisation… qu’il devient une référence. Pas seulement continentale, mais mondiale. Dans les années à venir, le football sera synonyme d’Afrique», confie-t-il au micro de Le360Sport.
Le dirigeant a également souligné l’hospitalité marocaine: «C’est incroyable comment le peuple marocain est accueillant. Quand je me balade, les gens m’invitent à boire un café, ils me reconnaissent même quand je suis caché ! Ça montre leur caractère chaleureux», avant d’avouer sincèrement, «l’Afrique se retrouve au Maroc. Avec ce football et cet accueil, on va vivre une CAN exceptionnelle».
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Portés par cette dynamique nationale et gouvernementale, les grands chantiers du Royaume impressionnent aussi les anciens internationaux. Salaheddine Bassir, légende des Lions de l’Atlas, en est le témoin privilégié:
«Aujourd’hui c’est un événement très important (...) C’est une chance pour les touristes des pays voisins de découvrir le patrimoine du Maroc. Au niveau des infrastructures, le pays possède des stades, des aéroports et des routes de très haut niveau. Ce partenariat est un point positif qui va encore hisser le développement du Royaume. »
Nouveaux stades, CAN, Mondial… Le Maroc façonne à grande vitesse, une nouvelle ère où son football et sa manière de le gérer, s’impose comme un modèle.
