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Youssef En-Nesyri et Yassine Bounou célébrés en héros à Séville

Yassine Bounou et les siens ont célébré comme il se doit leur titre de champion d'Europa League. © Copyright : DR Séville FC
Yassine Bounou, Youssef En-Nesyri et leurs coéquipiers ont fait leur retour à Séville, ce jeudi 1er juin, après avoir remporté la finale de l'Europa League face à l'AS Rome (1-1, 4-2 après tab). Les Andalous ont célébré leur septième titre dans la compétition. Retour en image sur leur festivité.
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La saison 2022-23 était sous le signe du désespoir avec une longue lutte pour le maintien en Liga du Séville FC. Alors quand les Rojiblancos ont soulevé un titre inespéré d'Europa League, ce mercredi 31 mai, il fallait fêter ça comme il se doit. 

À peine les néo-champions d'Europe (C3) étaient arrivés à bon port qu'il fallait monter dans le bus du club sévillan afin de partir en direction de la capitale andalouse. Objectif festivités pour des joueurs qui ont - une année de plus - rendu fiers leurs supporters en remportant la compétition fétiche.

Plein d'allégresse, les deux Lions de l'Atlas ont bien sûr passé un agréable moment. Sur l'autoroute, ils n'avaient qu'une hâte, retrouver leurs supporters, dans le centre-ville de Séville.

Arrivés à destination, les Rojiblancos ont donc communié avec leur public. José Mendilibar et Yassine Bounou, les deux hommes de la saison côtés Séville FC, ont reçu un accueil de Rock Stars.

Après avoir brandi la fameuse écharpe "Camp7ones", faisant référence au nombre de titres acquis par Séville en Europa League, les Sévillans ont continué leur itinéraire, direction le Stade Ramón Sánchez Pizjuán.

Pour finir ces célébrations en beauté, l'entre du Séville FC était remplie comme un ballon de baudruche. En roue libre, Youssef En-Nesyri n'a pas su contrôler ses émotions. "Nous sommes les lions de cette putain de compétition", lâche-t-il sans aucun filtre avant de prendre dans ses bras Yassine Bounou.

Le portier marocain, homme du match de la finale d'Europa League, a été acclamé par tous les supporters présents et "Bono reste, Bono, reste..." retentissait dans le stade.

Une soirée que les Marocains ne devraient pas oublier de sitôt.

Par Hicham Bennis (Journaliste stagiaire)
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