C’est officiel. L’Algérie ne prendra pas part à la Coupe d’Afrique des nations 2022, prévue du 13 au 22 janvier à Guelmim et Laâyoune. L’information nous a été confirmée par une source au sein de la FRMHB.
Le boycott par le voisin de l’Est de l’édition marocaine de cette grand-messe africaine ne surprend guère. Il n’est, pour ainsi dire, qu’un épisode parmi tant d’autres de l’interminable feuilleton de tentative de sape de tout ce que le Royaume entreprend et réussit.
D’autant plus que la junte militaire algérienne ne voit pas d’un bon œil l’organisation par le Royaume de tout évènement, qu’il soit sportif ou autre, dans ses provinces sahariennes. Voire, le régime vert-kaki est comme pris par un malaise indécrottable à chaque fois que le Maroc est l’objet d’attention à l’international.
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Cependant, en privant son équipe nationale de la CAN, le régime militaire la prive de briguer une place qualificative pour la Coupe du monde. Et il est certain que les handballeurs algériens, qui comptent parmi les meilleurs du continent, vont demander des comptes à leurs hauts responsables étatiques.
Ne feignant jamais de trouver des arguments fallacieux pour verser leur overdose de haine sur le Royaume, quitte à tomber dans la caricature, les militaires prenant en otage leur peuple, vont comme à l’accoutumée ergoter sur le bien-fondé de cette énième incartade.
Il va sans dire que tels agissements tendant à mépriser, dans un paroxysme béat de désespoir, tout ce qui est marocain nuisent avant tout à leurs propres auteurs. Et c’est sincèrement dommage pour un peuple qui n’a manifestement pas les dirigeants qu’il mérite.
