"Mr Fouzi Lekjaa, président de la Fédération royale marocaine de football ne peut plus rester silencieux face à ces entraves des droits des joueurs, de la liberté de mouvement garantis par la charte des droits de l'homme et du citoyen. Cela touche à l'image extérieure du Maroc", a écrit l’ancien international marocain, qui se dit indigné, sur sa page Facebook, de la façon avec laquelle Saïd Naciri s’est comporté avec son ancien joueur Cissoko, comme nous le rapporte le quotidien Al Ahdath Al Maghribia daté du 3 mai.
L'ancien défenseur des Lions de l'Atlas a aussi dénoncé l’absence de sincérité et l’intégrité chez quelques présidents de clubs marocains. "Je reste sans mots face à la perversité de certains dirigeants de clubs du championnat marocain. Intolérable!", a écrit lcelui qui a raté sa très courte expérience de coach au Mouloudia club d'Oujda. Avant de demander à la FMRF de "nettoyer le football de tous ces présidents qui ne respectent pas la dignité humaine et qui utilisent le football pour faire de la politique. La politique doit servir le sport. Pas l'inverse".
Le quotidien Al Ahdath Al Maghribia a répondu que la FRMF a apporté un amendement au statut du joueur en intégrant une clause qui permet à un joueur lésé de rompre le contrat si jamais il ne perçoit pas deux mois de salaires, contre trois auparavant. Le joueur doit juste notifier à son club le déclenchement de la procédure de cessation du contrat, et si rien n’est fait il peut signer où il veut.
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