Auteur du quatrième but des Merengue face aux Andalous du Séville FC, l’international marocain s’est réjoui de la victoire des siens, tout en mettant en relief le travail collectif au sein du groupe de Carlo Ancelotti.
«C’est une grande victoire pour toute l’équipe. Nous avons tous bien joué, nous avons été solides sur tout le terrain et nous avons bien travaillé en équipe. C’est le résultat de notre travail en 2024. Nous sommes très heureux et cette victoire a un goût très doux» a estimé le milieu offensif du Real Madrid.
Lors de l’interview accordée à RealMadrid TV, le Lion de l’Atlas s’est également confié sur le potentiel du groupe Merengue estimant que le Real Madrid est capable de tout gagné sur son chemin et que l’avenir s’annonce radieux à la Casa Blanca.
«Nous venons de remporter la Coupe Intercontinentale après un long parcours et nous avons une fois de plus montré que nous sommes capables de tout. Nous n’avons pas encore atteint notre limite et nous avons encore beaucoup à donner. C’est très bien et cela signifie que de grandes choses arrivent», a déclaré le Lion de l’Atlas.
Concernant sa complicité avec Kylian Mbappé, auteur de la passe décisive du but qu’il a marqué contre les sévillans, Brahim Diaz révèle qu’il s’agissait d’une promesse du français avant le match.
«Il m’a dit qu’il allait me faire une passe décisive, il a tenu sa promesse et je suis très content du but», a confié l’ancien milanais avant d’ajouter, avec humilité que «Ce n’est pas moi qui compte, c’est l’équipe.»
A une question sur sa relation avec les supporters des Merengue, Brahim Diaz se dit heureux de l’amour et de l’estime des supporters pour lui.
«J’essaie de leur rendre leur affection sur le terrain en donnant tout ce que j’ai pour le plus beau maillot du monde. Être aimé comme nos supporters nous aiment est unique. Je voudrais remercier tous les supporters du Real Madrid pour leur amour et leur soutien au cours de cette année écoulée. Vous êtes les meilleurs supporters du monde et je vous souhaite à tous une excellente année 2025», a-t-il conclut.
