Munir Mohamedi: et si c’était lui le gardien des Lionceaux aux JO de Paris?

À en croire L’Equipe, la forme physique de Alaa Bellaarouch, gardien de but attitré des champions d’Afrique U23 et de Strasbourg, inquiète à l’approche des Jeux Olympiques Paris-2024. «Victime d'une gêne tenace aux adducteurs à la fin de la saison, le Marocain a suivi un programme de soins à faire pendant ses vacances, mais ça n'a pas été suffisant. Le titulaire de la saison passée est revenu lundi en Alsace avec une blessure qui va l'empêcher de s'entraîner pleinement pendant plusieurs semaines, peut-être jusqu'en août», explique le quotidien sportif français.

Qui gardera donc les cages des Lionceaux de l’Atlas lors de cette grand-messe planétaire? Si Yassine Bounou, gardien numéro 1 des Lions de l’Atlas a la faveur des pronostics, la piste menant à son numéro 2, Munir Mohamedi, prend de plus en plus d’ampleur.

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Libre de tout contrat depuis son départ du club saoudien d’Al Wehda, le gardien de 35 ans serait une sérieuse option pour Walid Regragui, sélectionneur de l’équipe nationale A, et Tarik Sektioui, entraîneur de l’équipe U23, qui n’auront nullement besoin de négocier avec son club, contrairement à Bounou qui doit avoir l’accord d’Al Hilal pour participer à cet évenement. Le tournoi olympique n’étant pas inscrit aux dates FIFA, les clubs ne sont donc pas tenus de libérer leurs internationaux pour cette compétition.

Autre point qui joue en faveur de Mohamedi: sa future destination. Le portier serait proche de rejoindre la Renaissance sportive de Berkane lors de ce mercato estival. Un transfert vers un championnat étranger pourrait compliquer sa participation.

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En France, les Lionceaux de l’Atlas affrontent d’abord l’Argentine, le 24 juillet au Stade Geoffroy-Guichard de Saint-Étienne, puis l’Ukraine, le 27 dans le même stade, avant d’affronter l’Irak le 30 à l’Allianz Riviera de Nice.